Sur ce haut muret, serpente un petit sentier, un peu en retrait, au bord de la pinède. C’est entre le sentier et le muret que se trouve ce massif tout en longueur et haut perché. Il est donc le plus souvent vu du dessous ou à hauteur des yeux, ce qui lui donne une perspective tout à fait inhabituelle.
Les aiguilles de pin qui jonchent le sol en permanence ont acidifié celui-ci. C’est ce qui nous a permis d’installer là des touffes de bruyères qui ont le grand avantage de colorer cet endroit en hiver puisque la plupart d’entre elles fleurissent en janvier-février.